samedi 23 mai 2009



Quand elle me tient...je m'y échappe

"Ne bouge plus ! Ne fais rien ! Quand je suis la tu dois m'obeir,tu es a moi tu es mon prisonnier et tu ne peux point me fuir...tel est ma relation avec toi.tu me hais je le sais mais je te protège,sans moi tu es incapable de penser,cogiter,t'evader...tu me hais je le sais mais sans moi ton existence est vaine.
Ta raison est hantée par la débauche et les lupanars...Sans moi tu demeure dans cet infâme misère rationnelle...
Je l'avoue,je suis un clone de Belzebuth et Lucifer mais tu crois si bien faire en me fuyant vers les routes suicidaires...
Seul tu es il est vrai , mais que ressens tu vers moi???"

Je m'abstenais à repondre,en moi habitait l'angoisse de demeurer a jamais son prisonnier comme elle le dit si aisément mais il fallait que je réagisse:

"Me crois-tu prisonnier? je ne le suis guère !"

"tu te décides enfin a parler? j'aime mieux cela.qu'as tu a me dire? je suis de tout ouie..."

"Ma tendre partisane ; oui toi !!!tu es bien ma partisane? je ne me sens pas prisonnier , je me sens libre,libre de cogiter dans mes hantises, dans mes peurs et dans mon bonheur.Je me présente ,je suis l'intrépide, qui ne recule devant rien et toi la fausse intraitable..tu crois me connaitre mais te connais tu avant ?

"Mieux que tu ne te connais toi meme!"

"Le crois tu vraiment ? je m'en vais vous dire vos vicieuses vérités : Cela n'était point un hasard que l'on t'est apellé solitude , tu es sans doute forte pour forer les âmes mais tes echecs dominent ma chère ! tu fais le faraud mais cela est inutile.Tu ne peux rien contre le rève,le rève te bat et ce que vit mon rève me precure la joie que je traduis en peine devant toi ô solitude prétentieuse se croyant le centre du monde..pauvre de toi !j aimerais tant te secourir!mais c'est désormais toi qui mourras dans la solitude"

"Foutaises,moi mourir dans la solitude?c'est moi la solitude stupide être...

Cette réaction hostile de sa part me rendit encore plus fort,plus confiant,mais je me sentis faible devant la puissance de son discours,elle use d'une doctrine unique dure a imiter et dure a éliminer.

"Finalement tu n'es pas aussi futée que je le pensais...ca me désole, je me croyais devant un rude ennemie mais non ! Hélas je ne puis te cacher la vérité..je voulais garder cela pour moi mais ton arrogance me pousse à agir autrement.Déclare toi vaincue !je m'appele le songe,sauveur des âmes seules et cogitante sur l'infini mystère vital.Je les libère de tes horribles thèses...je leur fais vivre les souvenirs,et toi tu ne peux rien contre cela...le vice a fait de toi l'eternel rejetée même si ton pouvoir atteint très souvent les coeurs.
A present, solitude je dois me debarasser de toi, mon arme l'indifference,mon arme est le mépris...cela te fait mal.Aies mal comme nous avons eu mal.A présent tu demeureras seule,prisonière de toi même et de tres propres chaines.

Peu après notre entretien,je la vis errer toute seule dans les coins de mon crane incapable de repandre son venin.J'avais parfois besoin d'elle mais son pire s'imposait devant son meilleur...
Ainsi fût ma rencontre avec la plus délicieuse des tortures ...

samedi 2 mai 2009

QUAND LE COEUR ENTRE DANS L'ARENE

Comment suis je arrivé a devenir ce que je suis ?

Si vous saviez ce que j'etais et pourtant j'ai changé ou plutot elle m a changé...

Metamorphose: Kafka avait donc raison!!!

J'ai salué l'hostilité qui passait juste devan moi la tète basse,et bredouille d 'avoir perdu un de ses plus grands partisans mais elle fit un mouvement qui a planté en moi une peur affreuse...la peur de son retour car je sais qu'elle ne me lachera pas...Oui l'hostilité avait des yeux...le lynx n'en a pas de si aggressives...

Mais je suis heureux...

veille sur moi la reine de l univers...et le fait du plaisir de se retrouver ensemble et de réagir selon les mêmes raisonnances affectives...


THE SHOW MUST GO ON

Je rentrais un jour de la fac et dans mon chemin je devais passer par le passage (un endroit bruyant au centre de tunis que meme le diable fuirait);m accosta alors un monsieur pas tres beaux et qui chlinguait a fond...il racontait des choses que apparament lui seul pouvait comprendre.j essayais de decrypter son discours...et finalemant j ai saisi ce qu il voulait...bah de l argent..et la il eclate en larmes (pas vraiment des larmes)...
je lui ai dit que j avais pas d argent et la qu est ce qu il me dit :
BON SI TU N AS PAS DE TUN S IL TE PLAT FILE TON COCA ET TON SANDWICH POUR REMPLACER L ARGENT QUE TU DEVAIS ME DONNER ...
Morale de l histoire : c est qu il n y a pas de morale et que de préference tu obeis
sinon tu seras dans la page des faits divers d un de nos journaux....

UN PEU D'HUMOUR DANS CE MONDE DE BRUT

NOWADAYS,SOME FAMILIES ARE LIVING ON LESS THAN ONE DOLLAR A DAY
SO OTHERS MAY LIVE...PLEASE FEEDBACK...


Influence

Basse était ma raison devant la divine osmose,
Que dans mon monde je voyais morose,
Au destin que je n'imaginais point,
M'écartant aussi loin
Dans les palabres morbides
Et les mélodies sordides.

Face a l'exutoir,je me pris de léthargie,
Etat demeurant que supercheries,
Prisonnier de mes pensées moqueuses,
Je ne puis les fuire ,les marches sont scabreuses,
Je brûle de voir enfin éclaircir ce mystère
Qui m'irrite l'ame et mon crâne faussaire.

Le cadavre au cerceuil hérissé s'adressa a moi:
"Ô toi! hideux,je jouis plus que toi
De mes instants futiles,même sans hétaïres,
Oui que toi dans l'amer gale sans désirs."
S'abbattait sur moi mes antécédents crapules,
Devant le discours d'un hébété aux rudes conciliabulles

Adieu cruauté,médisance et vous aussi mes chères icônes,
Mon djinn m'en a appris de biens bonnes,
J'avoue être désormais enfin instruit
Comme je le voullus , mais d'une idiome éraflant l'idiotie.
Je me presse de trouver refuge dans les abysses,
Mais surgit la naïade m'évitant le sacrifice,
"Malheureux" cria-t-elle: Tu es l'élu natif.